« Art. Et tout naturellement, il devenait administrateur de l'Institut Industriel du Nord en 1905 et le restait jusqu'à sa mort en 1913. Ce rapport est débattu au sein du conseil municipal et du conseil communautaire. De 1873 à 1972, l'IDN est sous la tutelle du conseil général du Nord[AnF 1] : son statut est celui d'une école d'ingénieurs publique dépendant budgétairement d'une collectivité territoriale, à savoir le département du Nord[E 12]. (...) L'agrément de pareilles Associations dépendait du rapport des Ingénieurs des Mines et de l'avis de la Commission des Machines à Vapeur dominé par eux. René Paillot[74] est le premier maître de conférence non-normalien de la faculté des sciences de Lille qui devienne directeur par intérim de 1914 à 1918 puis sous-directeur de l'IDN en 1918. Il en résulta une extension rapide du recrutement. Ces leçons sont accompagnées d'exercices pratiques dans un atelier de plus de 200 mètres carrés de superficie, bien outillé et muni de métiers, presque tous d'origine anglaise, de variétés suffisantes pour initier les élèves à presque toutes les opérations[144] ». Les Trente Glorieuses voient l'essor de la grande industrie à forte intensité capitalistique et la croissance des équipes d'ingénieurs dans les entreprises industrielles nationales, après les concentrations forcées (1936) et nationalisation (1946) dans le secteur automobile, les nationalisations dans les secteurs aéronautique (1936) et ferroviaire (1937), dans les secteurs miniers (1944) et de production d'énergie électrique (1946), les fusions successives (1948) et nationalisation (1981) dans l'industrie sidérurgique, la consolidation progressive de l'industrie chimique, de l'industrie de construction électrique et des télécommunications, ainsi que la concentration des sièges sociaux à Paris. Procès-verbaux des séances du Comité d'administration 1899-1900, Bulletin de l'Association des ingénieurs de l'Institut industriel du Nord de la France 1900-1940 et 1945-1965, Revue de l'association des ingénieurs IDN 1966-1976, Association des ingénieurs de l'Institut industriel du nord de la France. Carlos Lainé (1911) et Jacques Lainé (1940), gérants des établissements Couvrot Lainé à Roubaix ; Félix Trubert (1912), secrétaire général et fondé de pouvoir de la, Ernest Anssens (1913), directeur de la société d'enzymes Rapidase à Seclin, Louis Fontaine (1923), actionnaire et pdg de, René Bedhome (1925), directeur délégué des usines chimiques de, Albert Ollivet (1927), pdg de Ziegler S.A. et Ziegler-Galva, laminoirs et galvanisation (vendue à la Compagnie Lorraine Industrielle et Financière (Wendel) en 1972, intégrée dans, Daniel Granveaud (1928) directeur de la Société Routière, Robert Fiévet (1929), administrateur délégué, puis PDG des. ― L'Agence nationale pour la rénovation urbaine est habilitée à créer ou à céder des filiales, à acquérir, à étendre ou à céder des participations dans des sociétés, groupements ou organismes intervenant exclusivement dans les domaines énumérés au troisième alinéa du I de l'article 9-1 et concourant au renouvellement urbain dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. À partir de 1979, l'enseignement d'informatique à l'IDN est principalement assurée par une équipe d'enseignants-chercheurs permanents[E 21] sous la direction du Pr Jean-Claude Gentina (1968), puis du Pr Didier Corbeel. En effet, le chemin de fer a permis de déplacer aisément des masses très pondéreuses, ce qui a favorisé les productions en grandes séries et ce qui a orienté, cette fois, les applications de la machine à vapeur vers des industries fortement mécanisées. (19) ; tissage (22) ; tissage d'amiante (1) ; tolles bâches ficelles (6) ; tôlerie industrielle (9) ; négociants en tôles (3) ; traitement thermiques des métaux (6) ; tramways (16) ; transformateurs (6) ; transmissions (7) ; transports et transports internationaux (2) ; travaux publics (40) ; tubes (8) ; tuileries briqueteries (3) ; turbines à vapeur (6) ; turbines hydrauliques (1) ; vannerie industrielle (1) ; verreries (9) ; visserie (2), Les activités industrielles liées aux ouvrages d'art et au chemin de fer se développent à Lille, en particulier au travers de la société. Le rapport de l'exposition universelle internationale de 1889[81] indique que « si l'on recherche les lieux d'origine des élèves de l'Institut industriel, on reconnait qu'ils n'appartiennent pas exclusivement à la région du nord de la France ; un grand nombre d'entre eux en effet viennent des autres départements : de la Seine (6), du Gard (2), de Seine-et-Marne (2), de la Creuse, du Cher, de la Côte d'Or, de la Dordogne, du Lot, de l'Indre, de la Haute-Marne, de la Vienne, des Vosges, de l'Alsace (1), de l'étranger. de l'université, mais ce recrutement est resté marginal[E 24]. Des certificats de capacité seront délivrés aux élèves (...) qui, bien qu'ayant satisfait convenablement aux examens de sortie, n'auront pas atteint le nombre de points exigé pour l'obtention du diplôme, « L'École fonctionnera sous le contrôle du Ministère (du commerce et de l'industrie) aux conditions spécifiées par la décision du 20 mars 1913, « à partir de 1913, le diplôme de l'Institut industriel du Nord de la France, contresigné par le ministre du commerce et de l'industrie, ne pourra être délivré aux ayants droit qu'après acquittement, au profit du Trésor public, d'un droit de 100 francs », « Écoles publiques délivrant un diplôme d'ingénieur reconnu par l'État », « former des ingénieurs 1° capables de rendre des services dans l'industrie dès leur sortie de l'École 2° ayant une culture générale scientifique développée, les études devant être sanctionnées par la licence ès sciences et le diplôme d'ingénieur 3° sachant facilement allier la science à l'industrie, les élèves recevant une formation spéciale dans des laboratoires d'application complets et modernes, « Lors des terribles bombardements des 11 et 12 octobre 1914, la bibliothèque universitaire a 375 vitres brisées et un obus tombe sur l'Institut industriel. « Ce programme comprend les opérations d'aménagement urbain dont la création et la réhabilitation des espaces publics, la réhabilitation, la résidentialisation, la démolition et la production de logements, la création, la réhabilitation et la démolition d'équipements publics ou collectifs, la création et la réorganisation d'espaces d'activité économique et commerciale ou tout autre investissement contribuant au renouvellement urbain. », Effectifs annuels 1872 : 15 - 1878 : 102 - 1891 : 172 - 1899 : 275 (. Néanmoins, après un pic à 113 en 1914 et à 110 en 1924, la taille des promotions d'anciens élèves diplômés ou certifiés se contracte durant l'entre-deux-guerres[M 8] avec des effectifs d'une trentaine d'élèves-ingénieurs seulement par promotion entre 1930 et 1944[L 1], dans le contexte de creux démographique et de crise économique de l'époque. » ; 12° Le 4° du I de l'article L. 5216-5 est ainsi rédigé : « 4° En matière de politique de la ville : élaboration du diagnostic du territoire et définition des orientations du contrat de ville ; animation et coordination des dispositifs contractuels de développement urbain, de développement local et d'insertion économique et sociale ainsi que des dispositifs locaux de prévention de la délinquance ; programmes d'actions définis dans le contrat de ville. En 1972, le concours d'entrée à l'IDN est intégré dans le concours Centrale-Supélec[L 1] et les épreuves orales ont lieu à Paris. 500. L'annuaire 1892 de l'Association des ingénieurs IDN donne une classification de 397 ingénieurs IDN par familles de professions, vingt ans après la réforme des études de 1872 : on y compte notamment 105 ingénieurs civils ; 15 constructeurs de machines ; 22 ingénieurs dans le secteur du bâtiment et structures métalliques ; 22 ingénieurs dans le secteur des chemins de fer ; 7 ingénieurs dans le secteur des télégraphes téléphones et services électriques ; 25 propriétaires ou directeurs de filatures et tissages ; 4 directeurs de mines de houille et 11 ingénieurs ; 6 propriétaires de fonderies et 5 ingénieurs de forges et acier ; 36 ingénieurs chimistes, 10 propriétaires ou directeurs de distilleries, 10 propriétaires de brasseries, 7 fabricants de sucre et 26 directeurs de sucreries ; 10 directeurs d'usines à gaz. Suivant les traditions de relations avec l'industrie initiées par Frédéric Kuhlmann en 1823, puis par Louis Pasteur, Alcippe Mahistre, Claude-Auguste Lamy et Edmond Bernot, « les élèves de l’Institut industriel du Nord de la France sont conduits par leurs professeurs dans les filatures et usines de construction mécanique de la conurbation lilloise où ils examinent les applications récentes de l’électricité aux techniques de fabrication »[N 4]. Ils entrent en vigueur le 1er janvier de l'année suivante pour une durée de six ans. En 1966, 15 % des élèves-ingénieurs admis à l'IDN sont originaires du Nord de la France et 54 % viennent de région parisienne[E 25]. III. La correspondance du mathématicien Charles Hermite avec Thomas Joannes Stieltjes indique l'attrait d'enseigner à Lille : « Je dois vous dire qu'à Lille, où la vie est plus chère, il y a aussi la possibilité d'être appelé à enseigner dans l'Institut industriel, et M. Boussinesq y a été longtemps professeur »[166]. (Centre associé des Arts et Métiers de Lille). Y est également établi le premier laboratoire d'essais mécaniques de France en 1894[2]. Par ailleurs le début de l'extraction du pétrole à grande échelle permet de tirer avantage du moteur à combustion interne inventé par Étienne Lenoir et Beau de Rochas et de la forte densité énergétique des carburants liquides pétroliers[5] notamment pour des usages de mobilité et avec un rendement cinq à dix fois supérieur à la machine à vapeur alimentée par la houille. L'ensemble des données et statistiques qu'il produit sont établies par sexe. Clément Codron (1851-1930) ancien élèves des Arts et métiers de Chalon, professeur et directeur du laboratoire d'essais mécaniques à l'Institut industriel du Nord de 1872 à 1922. Il est entretenu aux frais du conseil général du Nord et est dirigé par des ingénieurs des ponts et chaussées ou des mines. Philippe Deshayes et Heloisa V. de Medina, « En 1874, le baccalauréat fut obtenu par 6 386 candidats, dont 4 325 nouveaux bacheliers ès lettres et 2 061 nouveaux bacheliers ès sciences, auquel il faut ajouter 1 206 candidats admis au baccalauréat ès sciences restreint créé par le ministre Rouland en 1859 et destiné à ouvrir les portes des facultés de médecine. Doublement de la consommation d'énergie primaire en France, dont 50% d'augmentation entre 1981 et 2011. En 1913, l'année précédant le début de la Première Guerre mondiale, les trois plus gros employeurs d'ingénieurs IDN sont la Compagnie des chemins de fer du Nord, l'Association des propriétaires d'appareils à vapeur du Nord (APAVE) et Fives-Lille[IDN 23]. in-8, 582 pages, avec 255 figures et 66 photographies hors-texte. De 1872 à 1879, Alfred-Aimé Flamant est professeur d'architecture et de constructions civiles, tandis le Pr Joseph Boussinesq traite la dynamique des solides et des sols, alors en plein développement scientifique conduisant ultérieurement à la création de la société Solétanche par Henri Giron (1927) (devenue Soletanche Bachy). Pour les cours techniques, les programmes ont été mis en harmonie avec les progrès les plus récents[IDN 20],[IDN 21]. Notons aussi Auguste Boulanger[171], professeur de mécanique du solide, élasticité et résistance des matériaux, hydraulique à l'IDN de 1893 à 1914, Albert Petot, professeur de mécanique (1894), de thermodynamique (1896) et d'applications automobiles (1899) à l'IDN jusqu'en 1923, Robert Mazet, professeur de mécanique des solides et tribologie (1929-1936), directeur des études de l'IDN de 1936 à 1944, qui met en place à partir de 1931 le laboratoire de mécanique expérimentale. Les options sont initialement centrées sur la mécanique, l'électricité et la chimie au XIXe siècle ; la pluridisciplinarité s’accroît progressivement avec l'essor technologique du XXe siècle pour couvrir les génie civil, génie mécanique, génie des procédés, électronique industrielle, automatique, informatique de gestion, informatique industrielle, aménagement du territoire, transport-logistique, production industrielle, génie informatique, ondes micro-électronique et télécommunications. À la suite de réformes des études en 1881, 1883, 1889 et 1891, l'Institut se concentre sur la formation d'ingénieurs civils (division G) en 3 ans et sa dénomination est simplifiée en « Institut industriel du Nord de la France » en 1883, abrégé en Institut industriel du Nord (IDN). », où sous la menace de représailles collectives il se dévoile comme l'auteur avec trois autres camarades[45]. L'École nationale d'arts et métiers de Lille est prévue dans la loi du 10 mai 1881 ; les contraintes du budget d'investissement de l'État font qu'elle n'ouvre effectivement qu'en 1900. De nombreux ingénieurs IDN participent à l'expansion de la Compagnie des chemins de fer du Nord et ses concurrentes, devenues SNCF en 1937 sous l'impulsion de Cyrille Grimpret, ancien directeur de l'IDN et premier président de la SNCF. Bâtiments C et E de l'Institut industriel du Nord (IDN) entre 1968 et 1991, avenue Paul-Langevin, Cité scientifique. Les élèves-ingénieurs étudient à proximité d’œuvres d'art, notamment des peintures sur toiles et des œuvres extérieures telles que des sculptures formées de modules en béton blanc[61] et un ensemble sculptural en inox et béton[62] de Pierre Brun, réalisées avant 1978, et des œuvres de Bruno Dumont datant de 1996[60]. Le lien avec les classes préparatoires des lycées (mathématiques spéciales) et d'autres institutions comme source de candidats est identifié dès 1879 et soumis à délibérations au sein du conseil général du Nord : « La prospérité de l'Institut s'est consolidée d'année en année, malgré toutes les difficultés qu'il a eu à surmonter, malgré surtout la difficulté de son recrutement, car on ne remarque pas assez que contrairement à toutes les Écoles qui se fondent, l'Institut n'avait pas d'École préparatoire. L'Institut industriel du Nord a été une école pionnière en créant un laboratoire d'électrotechnique dès 1892, dirigé par Bernard Brunhes et « aura été la première en France (...) à décerner le diplôme d'ingénieur électricien »[1] dès 1893. « II. Cependant des mutations du tissu industriel[N 6] commencent à se dessiner vers 1960[8], dues à la croissance de l'usage des hydrocarbures pétroliers et à la réduction de la part du charbon dans la demande française d'énergie primaire, à l'épuisement du stock de charbon exploité de manière rentable dans les houillères du bassin du Nord et du Pas-de-Calais, à la transition vers l'énergie décarbonée non dépendante des hydrocarbures au travers d'un programme de centrales électronucléaires lancé en 1970 et à la finalisation des grands aménagements hydroélectriques, puis en 1977 à l'arrêt d'investissement dans de nouvelles centrales thermiques alimentées au fioul ou au charbon pour produire l'électricité, tandis que le réseau de distribution de gaz de houille est converti au gaz naturel (gaz de Lacq et Groningue, puis de mer du Nord norvégienne notamment). Alain Fradin (1970), directeur général du Crédit industriel et commercial (CIC). En 1972, le concours d'entrée à l'IDN est intégré dans le concours Centrale-Supélec[29],[L 1]. Répondant au besoin croissant d'ingénieurs d'études et de recherche pour une industrie moins dépendante de licences technologiques d'innovations importées, une formation par la recherche émerge progressivement dans le dernier quart du XXe siècle. L. 1811-2. », Le premier directeur de l'Institut industriel du Nord (IDN) en 1872 fut, Alfred Évrard publie son Traité pratique de l'exploitation des mines leçons professées à l'Institut industriel du nord de la France en 1879, « Cours d'électricité industrielle, par A. DEFRETIN, ingénieur en chef du service électrique à l'Association des Industriels du Nord de la France. Les sigles IDN, IIDN et IIN ont été utilisés dans les deux premières décennies. L'arrêté du 12 juillet 1966 confère aux ingénieurs IDN la dispense des certificats d'études supérieures exigés pour la préparation du diplôme de docteur-ingénieur. « Il est indispensable d'établir le plus de points de contacts possibles entre l'enseignement supérieur et les écoles techniques (...) Il est parfaitement admissible, et le fait existe déjà, que les universités organisent à côté d'elles, avec leurs ressources, des instituts techniques, mais ces instituts techniques doivent (...) donner un enseignement professionnel à des étudiants qui suivent ou ont suivi l'enseignement général de la Faculté des sciences. Le décret 91-758 du 31 juillet 1991[E 10] stipule que « l'Institut industriel du Nord prend le nom d'Ecole centrale de Lille (...) Dans le décret du 24 août 1989 susvisé et à l'exception de l'article 38, les termes: "Institut industriel du Nord (IDN)" sont remplacés par : "Ecole centrale de Lille". L'élec, la méca, la chimie, prendront à leur tour nos enfants, « III. Carpentier, Bonneman, Foucard. Dans son descriptif de l'enseignement technique supérieur devant la Société des ingénieurs civils de France en 1916[93], Léon Guillet décrit l'Institut industriel du Nord de la France : « Le siège étant à Lille, l'enseignement théorique est donné par les professeurs de la Faculté et les cours correspondent au programme des certificats d'études supérieures, le cours de mathématiques effectué en première année étant celui du certificat de mathématiques générales. Le représentant de l'Etat dans le département, après consultation du maire et du président de l'établissement public de coopération intercommunale concernés, reconnaît la composition du conseil citoyen et accorde, si besoin est, la qualité de structure porteuse du conseil citoyen à une personne morale chargée d'assurer le fonctionnement du conseil citoyen. De 1893 à 1914, le polytechnicien Auguste Boulanger enseigne la mécanique du solide, l'élasticité et la résistance des matériaux, l'hydraulique et collabore avec Henri Padé, Paul Painlevé, Joseph Boussinesq pour des recherches en mathématiques et mécanique. Un nouveau four électrique de recherche métallurgique à hautes températures est utilisé dans les locaux de l'École à Villeneuve-d'Ascq à partir de 1970, complété en 1990 par un système d'imagerie en microscopie électronique pour l'étude de matériaux nouveaux, notamment d'aciers à haute performance. Boussinesq en est le pionnier dès 1877 en proposant une formule pour la viscosité turbulente, un concept qui se rattache aux travaux modernes sur l'homogénéisation et les descriptions multi-échelle[168]. ― 1. « Les IDN occupent une grande place dans le recrutement initial (du laboratoire de calcul de la faculté de sciences de Lille) : Bosmorin, Latapie, Saint-Hubert, Germain-Bonne mais seul Germain-Bonne restera à l'université après 1968. Un décret du 30 avril 1880 décidait que les appareils contrôlés par les associations propriétaires étaient désormais dispensés dans certains cas des épreuves réglementaires. « Les examens qui auront lieu le 20 janvier 1873, à deux heures de relevée, à l'Institut, « La prospérité de l'Institut s'est consolidée d'année en année, malgré toutes les difficultés qu'il a eu à surmonter, malgré surtout la difficulté de son recrutement, car on ne remarque pas assez que contrairement à toutes les Écoles qui se fondent, l'Institut n'avait pas d', « les bacheliers es sciences et de l'enseignement secondaire moderne sont admis de droit en deuxième année dans la division de technologie et en première année dans la division de génie civil, « le Baccalauréat comprend actuellement quatre cycles pour la première partie: A. Latin-Grec B. Latin-Sciences C.Latin-Langues D.Sciences-Langues.
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